dimanche 23 juillet 2017

Avis de recherche - Disponible sur Amazon


Après son sauvetage en mer, quand David reprend conscience dans un hôpital de Floride, il doute de tout.

Ces gens qu’il ne connait pas, mais qui savent tout de lui, le prennent forcément pour un autre…

Est-il amnésique ? Victime de troubles de la personnalité ? Ou menait-il tout simplement une double vie ?

Pour l’instant, il a plutôt l’impression de devenir fou. Il se souvient pourtant d’une vie passée. Il sait très bien ce qu’il faisait sur cette plage de Clearwater. Mais comment est-il arrivé dans cette chambre d’hôpital ?

La nouvelle vie qui lui tend les bras est tentante. Va-t-il accepter ?

Avant d’en arriver là, remontons à l’origine, quelques années plus tôt… 

lundi 18 janvier 2016

Ludo - Footballeur - Disponible sur Amazon



Simon n’est jamais tombé amoureux. Pour lui, le fameux « Coup de foudre » c’est pure invention hollywoodienne et littéraire, pour remplir les salles et vendre du papier en faisant rêver les filles. Ça le fait doucement rigoler. À seize ans, on croit tout savoir sur tout. Heureusement, la vie ne s’arrête pas à cet âge, elle commence au contraire. La sienne va lui réserver bien des surprises…

Sa grande passion, depuis toujours, c’est le foot. Mais pas n’importe lequel ! Avec ses copains, il a toujours été allergique aux circuits traditionnels : fédération, règlements, formalités… Mais ce ne sont pas les seules choses qui le rebutent. Il ne supporte pas l’agressivité de certains joueurs qui oublient qu’ils ne sont que des amateurs. Ces abrutis prêts à vous tuer pour gagner un match de troisième zone dans une province perdue. 

Le football de Simon et de ses copains est différent, quasi clandestin. En Amérique du Nord on appelle ça « le foot de rue », eux préfèrent squatter n’importe quel terrain, d’où ils sont régulièrement chassés, par des gardiens de pelouse qui auraient fait carrière à l’époque du Troisième Reich ! Braver ces buses fait partie du jeu et ils aiment bien ça.


C’est là, sur une de ces pelouses, que sa vie va réellement commencer… 

vendredi 27 novembre 2015


Alexis Hayden

La lumière de tes ombres

Depuis la quatrième, Alan est amoureux de Margot. Après trois années de drague, de rire et de dispute aussi, c’est fait : ils sont enfin un vrai couple, que tout le monde respecte.

Pourtant, entre les sentiments confus de leurs nouveaux amis, les prédictions d’Emma qui voit tout dans le marc de café, le collant Justin, l’attachant Alban, et quelques phénomènes pas très naturels… Cette année de ses seize ans, ne va pas être de tout repos pour Alan.

Heureusement qu’il s’améliore en coaching parental…

Leur humour et leurs amours, les aideront-ils tous, à faire face sans sombrer ? À passer de l’ombre à la lumière ?

    Pourquoi m’as-tu menti ?
    Si tu posais moins de questions aussi…    



Alexis Hayden

Trop la honte pour nous

Florian, 17 ans et amoureux, vient de faire la boulette de sa vie : sa déclaration par sms. Huit jours plus tard, devant le silence de son ami, il vient chercher conseil et réconfort sur un forum :

 « Je m’appelle Florian, et je suis amoureux de mon meilleur copain. Il y a une semaine je lui ai envoyé un sms et lui ai tout dit. Il ne m’a pas répondu, et me fait la gueule depuis. Je ne sais plus quoi faire. Je suis encore plus désespéré qu’avant. Je ne dors plus, et j’ai le Bac dans un mois ! ».

À sa grande surprise, de nombreux internautes vont venir l’encourager, judicieusement le conseiller pour sortir de cette impasse, et affronter ses parents, en partageant leur vécu. Mais aucun d’entre eux ne devinera la raison du silence de son ami.

Avec humour et émotion, au jour le jour, Florian va leur dévoiler sa vie, ses questionnements, ses relations avec sa mère et son copain… Ses colères aussi.


Faut-il avoir honte d’aimer ?       

Aimez-vous les uns les autres

Alexis HAYDEN
&
Pierre-Lionel CAYLA

Pour Ethan, il était évident qu’avoir seize ans était le plus bel âge de la vie. Il n’avait jamais été aussi heureux de toute son existence. Hélas, c’était compter sans ses parents.

Après un voyage de rêve à New York, après avoir échappé de peu à la mort, après bien des aventures, dont la découverte de nouveaux amis, le retour à Paris est moins exaltant… A priori, car la vie, peut se montrer pleine de surprises…

Des surprises qui peuvent avoir pour nom Hugo, nouvel arrivant dans son lycée, ou Lucie, sa petite sœur aux états d’âme extravagants.

Et puis, il y a les parents, qui ont si souvent le chic pour semer la pagaille dans la vie de leurs enfants avec les meilleures intentions du monde…  


Pierre-Lionel Cayla  & Alexis Hayden

Les chemins du cœur

Tome II – Parce que c’était lui

Rentrés de leur randonnée dans les Alpes de Haute-Provence en compagnie de Mathieu, Maxime et Romain ont retrouvé leur  chez soi : l’un à Lyon, l’autre à Vienne. Il leur reste du temps de vacances et la gamberge les prend : ils se battaient froid, au départ, ils se manquent, désormais… Ce qu’ils ont vécu ensemble, cette équipée à la découverte de l’autre et de soi, loin de les aider à affronter le retour au quotidien, le rend presque plus ennuyeux qu’avant.

Après l’excitation de l’aventure et du plaisir de l’amitié découverte, pas facile de retrouver la vie ordinaire, ses petits et grands soucis… Ses questionnements… Ses peurs…

Et puis, il y a les parents… Ah ! Les parents… S’ils n’existaient pas, que la vie serait terne, tant ils se montrent  maladroits, parfois, en croyant bien faire, avec leur possessivité maladive, leurs accès d’autorité. Mais il y a leur amour, aussi, tellement indispensable et rassurant, même s’il paraît souvent trop pesant…

Maxime et Romain parviendront-ils à gérer tout cela ?



Alexis HAYDEN

Les chemins du cœur

Tome I - Jamais je ne pourrai

Maxime, 17 ans, mal dans sa peau, cherche désespérément à fuir, à oublier tous ses problèmes : une mère trop présente, une amie perdue, un petit frère malade…

Il n’a pas choisi ce séjour à la montagne, avec deux inconnus qui l’énervent, qu’il méprise et que rien a priori ne destinait à se rencontrer.

Pour que cette semaine change le cours de son existence, il lui faudra oublier ses préjugés. Alors, cette escapade lui permettra de faire le point sur sa vie et découvrir la richesse que peut lui apporter le contact avec ses deux complices  de randonnée.   
 
Pourquoi ses parents l’ont-ils inscrit à ce programme ? 

La montagne est-elle une thérapie contre le désespoir et la neurasthénie ? Lui apportera-t-elle un espoir de « résurrection » ?

Une seule certitude : 

« Jamais… Jamais je ne pourrai… » se dit-il. 

mardi 30 septembre 2014

Faut pas le dire ! Alexis Hayden


Faut pas le dire !

Dire ou ne pas dire ?… Là est la question ! Banale à pleurer. Faut-il toujours dire ce que nous pensons, avouer nos sentiments comme on avouerait une faute, révéler ce qui se cache au fond de nous, parfois très au fond ? Au risque de détruire une amitié qui nous est précieuse, un amour qui l’est davantage encore ? Personne ne pourra prendre cette décision si intime à notre place. L’aveu tient du quitte ou double, ou de la roulette russe.

Dire ou ne pas dire ? L’interrogation est toujours aussi pertinente, et personne ne vous soufflera la réponse. Cela d’autant plus qu’il n’existe pas de réponses prédéfinies, car il y a sans doute autant de réponses qu’il y a de personnes, toutes différentes.

Si, dès l’origine, l’homme était fait pour aimer une femme, et vice-versa, il semblerait qu’avec le temps, un… genre de bug génétique ait chamboulé nos chromosomes, qu’il ait contrecarré les interdits, de sorte que les fonctionnements originels aient quelque peu changé. À qui la faute ? Certainement pas à ceux qui en sont « victimes ». Si vous fabriquiez un engin défectueux, lui reprocheriez-vous en permanence de mal fonctionner quand il n’y serait pour rien ?  

Lorsqu’on est un garçon, est-ce une faute que de trouver un copain sexy, de sentir son cœur partir en surrégime en sa présence ? Si quelque part il y a faute, c’est peut-être de vouloir le cacher. D’abord, ce genre de dissimulation devient vite invivable et rend fou ; enfin, il arrive toujours qu’on trahisse ses sentiments par un mot, un geste qui réduit à néant la volonté de les tenir secrets.


Dans ce livre, Alexis Hayden nous révèle, sans fard, avec une certaine candeur peut-être, tout ce qu’on lui a toujours implicitement conseillé de ne jamais dire.

samedi 24 août 2013

Parce que c’était lui, parce que c’était moi.


Hier tu me citais Nietzsche.
« Il faut retenir son cœur, car si on le laissait aller, combien vite, alors, on perdrait la tête ! ».
C’est l’éternel combat entre le corps et l’esprit comme le dit Bryan dans « Si tu avais été… » :
« Et toujours cette impression d’un autre qui grandit en moi. Qui faut-il écouter ? Mon cœur, mon corps ou mon esprit ? Pas un n’est d’accord avec les autres ! Quand je te croise, mon cœur s’emballe. Quand tu me manques, mon corps va mal. Quand je t’aime, mon esprit dit : « C’est mal ! » »
Retenir son cœur ? Il parle comme un curé ton Nietzsche. Je me souviens d’un passage de la bible : « Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant ». Je ne le trouve pas tortueux du tout, nous sommes ainsi conçu c’est tout. Le cœur et le corps symbolisent nos pulsions et nos envies, ils nous les font connaître en toute honnêteté. C’est l’esprit qui est tortueux et faux-cul. Il ne faut pas regarder les beaux mecs et surtout ne pas dire qu’ils sont beaux. Oui, mais ils le sont ! Bryan fait encore tout un réquisitoire sur le sujet. Décidément, je m’entends trop bien avec ce Bryan, il aurait pu être ma moitié d’orange ! :)
« Je n’ai pas le droit de t’aimer, pas le droit de te trouver beau, mais tu l’es ! Je n’y suis pour rien. Qui détermine pour nous les critères de la beauté ? Qui les a codifiés dans mes gènes ? C’est absurde ! Pourquoi faut-il toujours faire semblant du contraire de ce qu’on ressent ? Faire semblant d’être indifférent quand on crève d’amour ? Je n’y arrive pas, c’est au-dessus de mes forces. Tu réjouis mon œil, et embellis mon âme. Je ne peux m’empêcher de te regarder. Tu me fascines. Tu es beau. Tu es trop beau ! Chaque détail de toi me chavire. On dirait que tu as été fait pour ça, pour me séduire. Et je devrais rester insensible ? T’ignorer et faire semblant de rien ? Comment le pourrai-je ? Tu as enflammé mon corps et mon esprit ! Tu as déclenché un tel tumulte dans ma tête que j’en suis obnubilé, incapable de me concentrer sur autre chose. Je vais mal, mais bizarrement, plus je me dis que je n’ai pas le droit de t’aimer, que c’est un amour impossible, et plus je sais que c’est vrai, plus tu deviens désirable ! Pourquoi sommes-nous aussi compliqués ? » 
Tout ceci me fait penser à la chanson de Brel « Les singes » :


« Avant eux (les culs pelés) l'homme était un prince


La femme une princesse, l'amour une province

Mais ils sont arrivés, le prince est un mendiant
La province se meurt, la princesse se vend
Car ils ont inventé l'amour qui est un péché
L'amour qui est une affaire, le marché aux pucelles
Le droit de courte-cuisse et les mères maquerelles
Et c'est depuis lors qu'ils sont civilisés
Les singes, les singes, les singes de mon quartier
Les singes, les singes, les singes de mon quartier ».
Nietzsche devait être très civilisé ! :)

J’ai, une ou deux fois dans ma vie, caressé cet espoir d’avoir enfin trouvé mon autre moitié d’orange. Illusion déçue à chaque fois, c’est le truc qui n’arrive qu’aux autres. :) Et quand bien même la trouverai-je cette autre moitié… Que pourrai-je en faire ? C’est trop tard, laissons-là où elle est. Dans une autre vie peut-être. Car le compliqué n’est pas trop de la trouver, encore faut-il être aussi sa moitié, un taux de probabilité d’une infime décimale. Et tu l’as trouvé ! La chance ! 

jeudi 22 août 2013

Contact avec des extraterrestres.

À quoi pourra-t-on s'attendre le jour où des extraterrestres entreront en contact avec nous ? Vous voulez le savoir ? Lisez Hugosse.


mercredi 24 juillet 2013

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It’s a boy ! Le futur roi d'Angleterre est un garçon. Cool !




Hier, nos journaleux internationaux se sont encore surpassés. Z’ont passé 24 heures à filmer une porte close avec pour seule info importante et passionnante, il faut bien le reconnaître, qu’elle n’allait pas tarder à s’ouvrir ! Waouh ! Z’étaient des centaines avec du matos…, j’vous raconte pas. Quand je vois les résultats le lendemain dans la presse, j’me dis qu’avec mon petit Olympus je n’aurais pas fait moins pire ! J Tout cela m’a rappelé une autre porte close à New-York à l’époque de l’affaire DSK. Sont très forts en ce moment pour filmer les portes closes. D’un autre côté, si on vous donnait le choix : aller photographier des islamistes, qui n’arrêtent pas de bouger, au nord du Mali, ou une porte close à Londres… Quelle option choisiriez-vous ?
Je suis mauvaise langue, car à force de passer et de repasser devant la télé (je suis obligé : c’est sur la route du frigo !) j’ai quand même entendu une info importante : William va prendre plusieurs jours de repos pour rester près de sa femme et de son fils. Mais il fait quoi comme métier William ? Il est futur roi d’Angleterre. Ils sont tous futur roi d’Angleterre ! Déjà quand t’es roi ou reine, une fois que t’as trouvé un premier ministre, t’as plus grand-chose à glander. Alors imaginez : futur roi !
C’est comme si moi, futur écrivain célèbre, j’hésitais à prendre trois jours de RTT pour aller voir s’il pleut toujours autant en Bretagne. Hey, franchement, que j’écrive ou pas…, tout le monde s’en tape. C’est décidé : j’irai faire un tour à l’ouest.
Vont encore me faire le coup du : « Si t’étais venu la semaine dernière…, il faisait un temps magnifique ». J’ai l’habitude.

Tout cela pour dire, et c’est la deuxième information importante, que le futur roi d’Angleterre est un garçon. Là, je crois qu’on a eu de la chance. Quoi que… Sait-on jamais…

Une autre info importante pour ceux qui aime lire et qui ont un compte Amazon Premium, vous pouvez emprunter « Hugosse »pendant un mois sur votre Kindle.
Voilà, voilà. Et bon Week-end.
   Mais, on est mercredi !

   J’anticipe ! Je fais comme les journaleux. J             

mardi 23 juillet 2013

Pourquoi mon père fait-il plus confiance à mon copain qu’à moi ?




Un autre cliché : pourquoi les papas font-ils plus souvent confiance aux enfants des autres, qu’aux leurs ? Pourquoi le père d’Hugosse prête-t-il plus volontiers son vaisseau spatial à Turnry ? Il a forcément ses raisons, mais pas cool quand même le papa !

Petit extrait : Hugosse a percuté la terre et défoncé la pelouse de Cyril avec son vaisseau spatial. Son copain Turnry vient l’aider à le déterrer. Ah, j’oubliais : il a aussi planté la voiture de Cyril, en la conduisant avec ses rollers qu’il ne quitte jamais…      

Hugosse (À Turnry.)
Mais c’est quoi ce vaisseau ? T’as copié celui de mon père ?

Turnry
Non. C’EST celui de ton père.

Hugosse
Quoi ? Je n’ai jamais eu le droit de le piloter, même pas pour le rentrer dans le garage ! Et à toi, il le prête ! Comment t’as fait ?

Turnry
Sentiments…, menaces…, sentiments… À la fin, il était en larmes. Si j’avais insisté, il m’aurait accompagné.

Hugosse
T’as bien fait de ne pas insister.

Cyril
En même temps…, qu’il hésite à te le prêter… Quand tu regardes l’état de ma voiture et du jardin… Ça peut se comprendre !

Le môme
Mon papa, il sait très bien piloter les vaisseaux, d’abord !

Cyril
Qu’est-ce que t’en sais morveux ? Tu le connais depuis cinq minutes !

Hugosse
Hey, tu te calmes. Un peu de respect avec mon fils !

Cyril (Au môme.)
Demande à ton super papa pilote où il a rangé son vaisseau spatial proto dernier modèle.

Le môme
Dis papa, il est où ton vaisseau spatial proto dernier modèle ?

Hugosse (Sans rire.)
Je l’ai planqué au fond du jardin. J’avais peur qu’on me le pique !

Le môme (À Cyril.)
Ah, tu vois ! (Il lui retire la langue.)

Cyril

Je confirme, là où il est…, on ne risque pas de lui piquer ! Et toi, t’arrêtes de me tirer la langue… 

lundi 22 juillet 2013

Tout savoir sur les extraterrestres...



En écrivant Hugosse (vous l’aurez compris lorsque vous l’aurez lu) mon intention n’était pas de vous en apprendre sur l’existence des extraterrestres. C’était plutôt l’occasion de profiter de la venue d’un être, originaire d’une autre galaxie, pour critiquer les humains. Comparer des cultures différentes et imaginaires tout en conservant les problèmes de base, comme l’incompréhension chronique entre générations, ou la domination d’un sexe sur l’autre. Pourquoi Hugosse se serait-il mieux entendu que Cyril, avec son père ? Ainsi le texte est truffé de petits clins d’œil moqueurs que vous ne pouvez rater. Pour n’en citer que quelques-uns :
   Pourquoi les femmes font-elles des fixations sur les fleurs et les anniversaires ? Et comme les anniversaires de naissance ne suffisent pas elles en rajoutent : anniversaires de rencontre, anniversaire de mariage, anniversaire de tout et de rien… Oubliez-en un seul et c’est la gueule pendant trois jours ! Et là, c’est un connaisseur qui vous parle. J
   Pourquoi, à tous niveaux, tremblons-nous de dire la vérité ? Pourquoi préférons-nous inventer de compliqués mensonges ? Pourquoi prétendre le contraire ? Pourquoi ne supportons-nous pas la vérité ?
Je vous sens septiques. Exemples indiscutables : vous venez d’acheter un magnifique et exécrable tableau dont vous êtes très fier. Si fier, que vous êtes tout content de demander à votre meilleur ami ce qu’il en pense. S’il n’a aucun savoir vivre et se fiche de votre amitié, il dira la vérité : « Quelle merde ! Je ne comprends même pas que tu aies pu acheter ça ! ». S’il a du savoir vivre et tient à vous, il dira, gêné, quelque chose du genre : « C’est original ! ».
Cyril et Hugosse ne seront évidement pas d’accord sur l’utilité du mensonge :

Cyril
Sur terre, le mensonge fait partie de la vie. Nous naissons menteur. Il n’y aurait pas de vie sociale possible sans le mensonge. Cécile, la sœur de Chloé, avait pour devise de toujours dire la vérité. Elle en est revenue.

Hugosse
Pourquoi ?

Cyril
Elle s’est mise tout le monde à dos. Nous rêvons de vérité mais nous ne la supportons pas. C’est toute une culture. Tu disais que mes parents ne m’avaient rien appris, si, ils m’ont appris à mentir. Je les ai vus mentir à tout le monde, à leurs amis, à leurs parents, à nos voisins, à moi…

Hugosse
Je n’en vois pas l’utilité puisque vous savez que tout le monde ment.

Cyril
Ça s’appelle du savoir vivre, tu ne peux pas comprendre. On est éduqué comme ça. Par exemple : tu m’emmerdes car tu bouscules mes habitudes, mais en même temps… (Il est gêné) Je suis trop content que tu sois là. Que devrais-je te dire ? « Tu m’emmerdes mais je t’aime bien. » Je préfère te faire croire que tu me déranges.

Hugosse

Tu sais quoi ? Vous êtes presque aussi compliqués que les femmes chez nous !

Ma petite cousine me disait ce week-end : « Nous sommes trop compliqués ». Le problème, c’est que le degré en-dessous : c’est le robot. Vous pouvez lui demander gentiment, ou en lui gueulant dessus, de sortir. Il s’en fout, il sortira. Je vous déconseille d’en faire autant avec votre conjoint. Les relations humaines sont d’une complexité extraordinaire, c’est ce qui en fait le charme et la valeur, même si c’est parfois prise de têêête ! Non ? J

samedi 20 juillet 2013

Hugosse plus que 3 jours


Plus que 3 jours pour profiter de l’offre. 

J’avoue être très surpris par le nombre d’exemplaires « vendus » depuis hier.

Je ne pensais pas qu’il y aurait tant d’amateurs pour une pièce de théâtre. 

Un grand merci à tous ces fidèles lecteurs.

 N’hésitez pas à me laisser des commentaires.  


jeudi 11 juillet 2013

HUGOSSE (Pièce en quatre actes) À paraître bientôt en version Kindle sur Amazon.com



À paraître bientôt en version Kindle : HUGOSSE (Pièce en quatre actes).

4ème de couverture :

Cyril, 24 ans, vit tranquille dans un pavillon de banlieue avec sa copine Chloé. En un week-end tout bascule. Il perd sa copine, découvre que son voisin François est homo et fait la connaissance d’Hugosse. Un ados extraterrestre en pleine fugue, dont la soucoupe (proto dernier modèle) s’est écrasée dans son jardin. Cet alien aux pouvoirs et aux mœurs étranges, va lui pourrir et lui faciliter la vie pendant trois jours.

Une occasion de comparer les cultures, de les critiquer sans ménagement, mais avant tout d’en rire. Et si nos extraterrestres avaient aussi des problèmes avec leurs parents ? Si nous étions tous, de pères en fils, condamnés à commettre les mêmes erreurs ? Si rien n’était perdu ? Si nous pouvions encore espérer en la race humaine ?


Pour ceux qui détestent les fins dramatiques, en voici une plus joyeuse. Comme quoi !...